La solitude peut être bonne


Depuis environ 2 semaines je me sens dépassée. Je vais être sincère avec vous, avant, plus j’en avais à faire, mieux je me sentais… D’une certaine façon, je me sentais bien sur le fait de ne pas avoir de temps pour moi. Je partageais mes tâches, mais en même temps, je faisais en sorte d’avoir toujours d’autres choses à faire – je pense honnêtement que j’ai le complexe de la Super Femme et cela n’est pas bon!

Donc, je suis tombée malade. Mon corps a décidé de me forcer à faire une pause, puisque je ne lui en donnais pas. La semaine dernière je traînais sur mes pieds. Je n’arrivais à rien faire correctement. J’ai dormi et dormi… Et la semaine est passée comme un seul jour. Maintenant je suis bien, j’ai toujours un peu de toux et mal à la gorge, mais ça va.

Mais cette expérience m’a aidée à prendre conscience de quelque chose que j'ai essayé d’ignorer depuis longtemps. Je suis entourée de personnes et pourtant je suis seule. Il n’y a personne pour me donner un coup de main ou pour dire «Je vais m’ occuper des choses ici pour vous ». Tout le monde s’occupe de sa propre vie et je reste là en train d’attendre au moins un «Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour vous?»

D'un autre côté, mon mari et mon fils m'ont beaucoup aidée et j'ai vraiment apprécié toutes les tasses de thé qu’ils ont préparé, la vaisselle qu’ils ont faite, leurs visites à la pharmacie et leurs constants «ne t’inquiète de rien, va te reposer». Ils ont mangé beaucoup de pâtes ces jours-ci, les pauvres!

Donc, durant le premier mois de cette année, je vous demande de m’excuser, mais je vais récupérer mes forces. Il n’y aura pas de nouveaux blogs ce mois ci. Je ne vais pas m’arrêter, je suis juste dans un moment de ma vie où j’ai besoin de prendre un peu soin de moi sinon je suis cuite. Je serai de retour en février en pleine forme!

La solitude n’est pas aussi mauvaise qu’on le croit, elle vous fait apprendre à ne pas dépendre des autres et le meilleur de tout, elle vous rapproche de Dieu, car Il est toujours là, peu importe ô combien la chambre est vide.

La vie, le jeu le plus difficile

«Remettre ma vie entre Ses mains? Ce serait trop beau pour être vrai!» s’exclama un jeune homme. Sa mère l’a abandonné lorsqu’il avait 5 ans et il a dû grandir en prenant soin de lui-même et de ses deux petits frères, leur vie n’avait aucun équilibre. La vie l’a mené à quitter l’école et à s’infiltrer dans un gang de rue. Tout ce qu’il voulait, c’était avoir le contrôle et trouver un peu de soulagement, mais lorsqu’un de ses frères a suivi ses traces et est mort dans un règlement de comptes – il a cru que son propre jeu était fini.

Beaucoup de jeunes hommes et jeunes femmes ont perdu le contrôle de leurs vies. Leur jeunesse ne veut rien dire lorsqu’il s’agit du mauvais côté de la vie. Mais, tel un jeu, la vie est faite de choix. C’est votre tour de mettre les cartes sur la table, qu’allez vous faire? Parfois, le meilleur choix à faire n’est pas le plus évident, mais celui qui est caché, tel un secret. Seuls ceux qui le cherchent depuis longtemps le trouveront.

Lorsque vous avez un engagement avec Dieu, vous connaissez l’Auteur de ce jeu et Il vous guide dans tous sens, y compris votre vie professionnelle et sentimentale. Mais vous vous demandez peut-être : «Alors, pourquoi ne fait-Il pas cela pour moi?» Et bien, c’est simple, lisez la première partie de ce paragraphe à nouveau… Si vous avez un engagement avec Dieu…

Il ne fera pas partie de votre vie si vous ne la Lui donnez pas. Si vous fréquentez l’église mais vous dormez toujours avec votre petit ami(e), vous fumez, vous mentez, vous volez ou vous fréquentez les mauvaises personnes, où est la place de Dieu dans votre vie?

Si vous voulez gagner ce jeu, vous devez suivre les règles… Bluffer dans le jeu de la vie ne vous mènera pas très loin.